Bernard JOFFROY
En
1971, le premier tube de musique électronique « Pop Corn
» me fait découvrir le synthétiseur.
La nouveauté des sonorités et l'aspect futuriste de l'instrument
fascine l'enfant que j'étais.
Après
avoir fait connaissance des ténors de l'époque (Tangerine
Dream, Klaus Schulze) je m'oriente vers le rock progressif, le blues
puis le jazz.
C'est au piano, dans une formation de jazz, que je monterai sur mes
premières scènes.
La musique classique n'est pas en reste, Mozart, Beethoven, Maurice Ravel, Alfred Schnitke et par la suite Aaron Jay Kernis, envahissent depuis longtemps déjà les étagères de ma discothèque.
J'entre
alors au conservatoire pour y étudier l'harmonie et le contrepoint,
puis intègre la classe de musique de films à l'école
normale.
J'y écrirai mes premières pièces orchestrales.
Si c'est au synthétiseur que je reviendrai par la suite, ma musique n'en reste pas moins influencée par les différents styles qui ont jalonnés mon parcours.